En réservant un atelier privé, vous indiquez le plat principal que vous souhaitez cuisiner, en sélectionnant un plat dans la liste ci-dessous. Lors de l’atelier, nous réaliserons aussi ensemble deux entrées (choisies par Chihiro en fonction du plat principal) et un dessert japonais sera aussi offert (mais pas cuisiné ensemble).

sont identifiés par l’icône ci-dessus.

Makizushi
巻き寿司 [maki zouchi]
Les sushis maki (maku = enrouler) sont des rouleaux d’algue nori séchée entourant du riz blanc mélangé à du vinaigre de riz sucré, et remplis de divers ingrédients (poisson, surimi, crevettes, omelette, salade, etc.).

Oyakodon
親子丼 [oyako donn’]
L’oyakodon entre dans la catégorie des plats de donburi (« bol »). Il est composé d’une garniture sur un bol de riz. Oyako signifie « parent et enfant », un jeu de mots adéquat car ce plat est élaboré avec du poulet et des œufs.

Kara age
唐揚げ [kala agué]
Le kara-age est une technique de cuisine japonaise dans laquelle des ingrédients variés (poisson ou viande, surtout du poulet) marinés dans de la sauce soja et du gingembre, sont frits dans un bain d’huile (ageru = frire).

Omu raisu
オムライス [omou laïssou]
Adaptation japonaise de plats occidentaux : une omelette contenant du riz frit (façon « calzone ») est accompagnée de ketchup et divers ingrédients. Au Japon c’est un plat populaire, très apprécié des enfants (mais aussi des adultes !) .

Gyōza
餃子 [gyo- za]
Version japonaise des « Jiaozi » chinois, ces « raviolis » sont constitués d’une pâte de farine de blé, enveloppant une farce qui peut être composée de différents aliments. Atelier Wasabi propose des gyoza fourrés à la viande de porc hachée mélangée avec du chou et du gingembre.

Tempura
天ぷら [temm’ poula]
Les tempura sont des beignets consistant en une pâte à frire, à base de farine, d’œuf et d’eau, dans laquelle on trempe toutes sortes de produits (poisson, fruits de mer, légumes). C’est l’adaptation japonaise d’un plat portugais importé au 16e~17e siècle, le peixinhos da horta.

Okonomiyaki
お好み焼き [okonomiyaki]
L’okonomiyaki (littéralement « ce que vous aimez » et « grillé ») est composé d’une pâte qui enrobe un nombre d’ingrédient variables découpés en petits morceaux, le tout étant cuit sur une plaque chauffante. C’est un plat très populaire dans les régions d’Osaka et d’Hiroshima.

Kani krimu korokke
蟹クリームコロッケ [kani koulimou kolokké]
Comme leur nom l’indique, les korokke (du français « croquettes ») sont des croquettes de pomme de terre que l’on trempe dans un mélange de farine et de jaune d’œuf, puis dans la panure avant de les faire frire. Atelier Wasabi propose ici une recette à base de crème au crabe.

Renkon hasami age
蓮根はさみ揚げ [lenkonn’ hassami agué]
Ce plat associe des bulbes de lotus (renkon, un produit souvent utilisé dans la cuisine japonaise) avec de la viande de porc hachée, le tout étant frit. Il se déguste accompagné de riz blanc.

Tendon
天丼 [tènn’ donn’]
Le tendon (abréviation de tempura don) est une extension du tempura (voir plat page précédente), les ingrédients frits étant disposés sur un bol de riz (don).

Sanshoku don
三色丼 [sann’ chokou donn’]
Le sanshoku don (« bol de riz aux trois couleurs ») associe de la viande hachée assaisonnée, une omelette sucrée et des légumes verts, le tout étant disposé sur un bol de riz.

Tsukune
つくね [tsou-kou-né]
Les tsukune sont des boulettes de viandes cuisinées dans une sauce sucrée-salée. Elles sont souvent servies en brochettes (kushi).

Sabamiso
鯖味噌 [saba misso]
Il s’agit de filets de poisson cuisinés dans une sauce au miso (pâte de soja fermentée) sucrée. La recette japonaise utilise du maquereau (saba), mais la version d’Atelier Wasabi le remplace par du thazard, un poisson de la même famille facilement disponible en Guyane.

Saikyo yaki
西京焼き [saï kyo- yaki]
Ce plat consiste en du poisson grillé (yaki : grillé) dans une sauce miso (pâte de soja fermentée). Les Japonais utilisent souvent de la morue ou du saumon, mais Atelier Wasabi utilise du mérou ou de l’acoupa dans la version guyanaise du plat.

Nitsuke
煮付け [ni tsou ké]
Il s’agit d’un poisson entier ou de filets mijotés (nitsukeru = faire mijoter) dans une sauce de soja sucrée. Au Japon il s’agit souvent de turbot ou rouget, mais Atelier Wasabi utilise du vivaneau de Guyane pour cette recette.

Shōga yaki
生姜焼 [cho- ga yaki]
C’est un grand classique de la cuisine populaire japonaise, trouvé dans les grands restaurants, les fast-food tokyoïtes ou les cantines scolaires. Il s’agit de filets de porc coupés en fines tranches et sautés dans une sauce au gingembre (shōga)

Kamo nanban
鴨南蛮 [kamo nann’ bann’]
Ce plat associe la viande de canard (kamo) avec du poireau, dans un bouillon de nouilles de sarrasin (soba). Le terme nanban fait référence aux « barbares du Sud » (Portugais et Hollandais) qui sont arrivés à Kyushu aux 16e et 17e siècles. Un des rares plats japonais qui utilise le canard.

Buta misozuke yaki
豚味噌漬け焼き [bouta misso zouké yaki]
Il s’agit de filets de porc (buta) coupés en tranches fines et marinés dans une sauce au miso (pâte de soja fermentée), puis grillés. Il se déguste accompagné de riz blanc et de chou émincé.

Tonkatsu
豚カツ [tonn’ katsou]
Un grand classique de la cuisine japonaise. Ton est une autre prononciation de buta (porc) et katsuletsu est la prononciation nipponne de « côtelette ». Des escalopes de porc sont panées puis frites. Elles sont accompagnées d’une sauce de type Worcestershire et de chou émincé.

Katsudon
カツ丼 [katsou donn’]
Une variante du tonkatsu (voir plat précédent). Le katsudon consiste en un bol de riz chaud surmonté d’un tonkatsu cuit avec un œuf battu. C’est l’un des plats les plus populaires au Japon.

Nikomi Hamburg
煮込みハンバーグ [nikomi hann’ ba- gou]
Le « steak de Hambourg » s’est transformé, après plus d’un siècle de présence au Japon, en vrai plat japonais. Il s’agit de morceaux de viande hachée mijotés dans une sauce à la tomate et aux champignons. On le trouve sur toutes les tables familiales du pays, toujours accompagné de riz blanc.

Kare korokke
カレーコロッケ [karé- kolokké ]
Dans ce plat, les croquettes de pommes de terre écrasées et panées (korokke) sont revisitées avec une sauce au curry. Le plat illustre l’intégration et l’adaptation du curry indien par les Japonais au début du 20e siècle : aujourd’hui le curry (karē) est devenu un plat japonais à part entière.

Nanban zuke
南蛮漬け [nann’ bann’ zouké]
Ce plat de poisson intègre des filets (ou de petits poissons) frits et marinés dans une sauce au vinaigre de riz. C’est un plat traditionnel du sud du Japon, à l’origine une adaptation de l’escabèche arrivée au 16e siècle avec les navigateurs portugais. Pour la Guyane, atelier Wasabi propose ce plat avec de l’acoupa.

Aji furai
鰺フライ [adji foulaï]
Un plat japonais simple mais très souvent présent sur les tables familiales : des filets de poisson panés. C’est le fish and chips du Japon (recette adaptée avec du chou émincé et une sauce façon Worcestershire réappropriée par le Japon).

Tai meshi
鯛飯 [taï méchi]
Ce plat populaire associe du poisson avec du riz sauté. Version japonaise du biryani indien ou d’une paella simplifiée, c’est le plat du pêcheur par excellence. Simple et roboratif. Le poisson utilisé au Japon est la dorade royale, dont on peut trouver des espèces similaires sur les marchés de Guyane.

Hiyashi Chūka
冷やし中華 [hi ya chi tchou- ka]
Un plat estival populaire. Lorsque les températures dépassent les 35°C à Honshu, il vaut mieux manger frais et les nouilles de blé se dégustent alors froides, accompagnées d’omelette, jambon, concombres et tomates, le tout étant mélangé dans une sauce vinaigrée.

Gōya champuru
ゴーヤーチャンプルー [go-ya tchampoulou]
Bienvenue à Okinawa, où l’extrême sud de l’Archipel côtoie les tropiques ! Ce plat est le plus connu de l’« île des centenaires ». Il utilise le concombre amer « sorossi » (gōya), dont l’amertume est contrebalancée par un mélange de tofu, pousses de soja, omelette et viande de porc (champulu = mélanger, en dialecte d’Okinawa).

Oden
おでん [odènn’]
Voici un plat d’hiver originaire du Kantō, la grande plaine de Tokyo. Il est souvent servi dans les stands (yatai) des rues de la capitale. C’est une sorte de pot-au-feu composé de divers éléments (nouilles de konjac, œufs à la sauce soja, galettes de poisson, radis daikon, etc.)

Yakisoba
焼きそば [yakissoba]
Les yakisoba (yaku = faire sauter) sont la version japonaise des nouilles sautées chinoises (chao mian). C’est un plat populaire que l’on rencontre souvent sur les étals (yatai) des fêtes foraines au Japon. Ces nouilles de farine de blé sont préparées avec de la viande (ou crevettes), divers légumes et cuites dans un wok. Le plat est à rapprocher du Bami guyanais, lui-même importé d’Indonésie via le Suriname.

Chankonabe
ちゃんこ鍋 [tchan’ko nabé]
Voici le vrai plat des sumos. Comme tous les plats de type nabemono (« chose de marmite »), il s’agit d’un plat d’hiver, à déguster lorsque Tokyo est sous la neige (mais rien n’empêche de le tester en Guyane !). Ce pot-au-feu est convivial puisque le nabe (marmite) est au centre de la table et chaque convive pioche ou rajoute les ingrédients (légumes, viande, tofu, champignons, etc.) au fil du repas.

Takoyaki
たこ焼き [takoyaki]
Ces boulettes de pieuvre enrobées dans une pâte (tako = pieuvre ; yaku = griller) se rencontrent souvent dans les fêtes (matsuri) estivales du Japon. C’est un plat festif et convivial, originaire de la région du Kansai (Osaka, Kyoto). Ce plat de street food se déguste très chaud, à peine sorti du moule en fonte qui sert à sa cuisson. Les takoyaki sont généralement saupoudrés de katsuobushi et d’algues aonori.

Rāmen
ラーメン [la- mènne]
Originaires de Chine, les rāmen sont des nouilles de blé servies dans un bouillon à base de poisson ou de viande. Elles sont agrémentées de divers ingrédients, comme un œuf mollet, une tranche de rôti de porc (chāshū), de l’algue nori ou des pousses de soja. Les rāmen varient selon les régions et chaque restaurant garde jalousement secrète la recette de son bouillon.

Udon
うどん [oudonn’]
Les udon sont des nouilles épaisses de blé tendre servies dans un bouillon. Contrairement aux rāmen qui sont originaires de Chine, elles sont considérées comme un plat traditionnel japonais, au même titre que les soba. Comme ces dernières, elles sont servies avec divers ingrédients qui varient en fonction des régions et peuvent se déguster chaudes ou froides.

Sāmon sushi no moriawase
サーモン寿司の盛り合わせ [saamon’ souchi no moli awasé]
Selon plusieurs sondages, les sushis de saumon restent les préférés des Français (pour les Japonais, c’est souvent le thon rouge qui l’emporte), ainsi Atelier Wasabi propose un atelier centré sur le sushi saumon sous toutes ses formes : nigiri classique, maki avocat, aburi yaki et gunkan maki. L’occasion d’apprendre à faire soi-même ses sushis à la maison !
